Le serveur établit des connexions avec d’autres ordinateurs, systèmes de fichiers et dispositifs de réseau en utilisant des ports de communication. Lorsqu’un ordinateur client veut envoyer des données à une autre machine, il crée un canal à travers le serveur et à travers la machine cliente, qui est connu sous le nom de « tcp ». Le partage des données de connexion est alors établi par cette connexion tcp.

Les principaux types de connexions TCP sont les suivants

1. Les connexions anonymes (ou semi-anonymes). Cette connexion permet à un ordinateur d’envoyer des données à une autre entité et de créer ainsi une connexion.

2. Les connexions par proxy : dans cette connexion, la machine cliente révèle son identité afin que le serveur puisse ensuite envoyer des informations à la machine cliente.

3. Connexions entièrement authentifiées (ou strictement anonymes). Cette connexion fonctionne comme une tierce partie au transfert de données.

4. Authentification distribuée. Ce dispositif prévoit que tous les ordinateurs qui auront accès à l’information seront authentifiés à sa sécurité.

Ce sont les types de base des connexions TCP et ils sont également utilisés par de nombreux autres utilisateurs d’Internet. Le TCP a également de nombreuses formes hors ligne, telles que les connexions Control End et Control Net. Nombre de ces recommandations sont contenues dans la suite de protocoles TCP/IP.

Le protocole ICMP (Internet Control Message Protocol) est principalement utilisé pour l’envoi de messages d’erreur. En usage international, les formats d’envoi des messages d’erreur ont un peu changé par rapport au protocole IP (Inter-Network Interchange) d’origine.

L’une des conclusions importantes du projet Theberedge est que les protocoles filaires de base, tels que ECHO et TCP, sont très faciles à émuler. En d’autres termes, il est facile de trouver des sites d’attaque « zero-day » qui auraient autrement trompé une entreprise ou une organisation.

Le courrier électronique est l’un des outils de communication les plus utilisés sur Internet. Sa fiabilité est due à sa proximité avec les utilisateurs et à sa portée mondiale. Le courrier électronique est également utilisé comme une forme de paiement en ligne, en envoyant de l’argent à l’expéditeur via un compte bancaire ou un service de paiement en ligne.

Pour les sociétés, le meilleur système de protection est de faire usage de client sans stockage appelle aussi client léger (voir le site officiel)

L’ensemble des règles relatives à l’envoi de courrier électronique en utilisant le système de classement mbox.

Une composante du courrier électronique est définie dans le fichier mbox en utilisant le Berkeley Internet File System (BIFS), et est appelée la boîte aux lettres « bcc ». Il existe de nombreuses variantes du fichier mbox, mais cet article traitera des variantes les plus courantes.

Le fichier mbox est utilisé pour spécifier une adresse pour le destinataire d’un courrier dans un message électronique. Le premier champ (« From ») est le nom de l’expéditeur ; le deuxième champ (« Subject ») est l’objet du message électronique. Lorsque le courrier électronique est livré, le serveur du système de courrier électronique extrait l’objet du corps du message électronique et remplit le champ « De » avec la valeur attribuée à ce nom dans la liste de diffusion. La même procédure est utilisée pour l’adresse électronique de l’expéditeur.

Le champ BCC est utilisé pour s’assurer que le courriel n’est pas marqué comme spam. Il était autrefois une nuisance pour de nombreux utilisateurs lorsque, par exemple, l’adresse électronique de leur expéditeur apparaissait dans le champ BCC du serveur de messagerie de leur client. Il s’agit d’une caractéristique technique des systèmes de courrier électronique sur Internet qui, lorsqu’elle est configurée, permet à l’adresse électronique d’un expéditeur d’être consultée ouvertement par les administrateurs centralisés du système. Si le champ BCC n’est pas utilisé, le courrier électronique sera renvoyé avec l’adresse électronique de l’expéditeur désactivée.

Certains clients de messagerie, tels que Microsoft Outlook et Apple MacMail, permettent à l’utilisateur d’éviter l’attribution automatique d’adresses de courrier électronique externes aux utilisateurs du système via le champ BCC.

La cote de gravité du message électronique. La cote de gravité se situe entre 0 et 5, 0 étant la cote la plus bénigne et 5 la plus grave.

Un client de messagerie tel que Microsoft Outlook ou Apple MacMail permet à l’utilisateur de définir un degré de gravité pour les messages électroniques entrants. Les messages électroniques graves ou sévères sont signalés comme potentiellement dangereux pour la sécurité et la vie privée.

La cote de gravité est une fonction scalaire dynamique qui peut aller de 0 à 5, où 5 est la valeur la plus élevée.

Si le client de messagerie ne permet pas à l’utilisateur de définir la cote de gravité, la valeur scalaire peut être utilisée pour définir le niveau maximum de protection de la sécurité et de la vie privée qui sera accordé à tous les utilisateurs de messagerie interne.

Le taux de gravité fait effectivement partie de l’infrastructure à clé publique du client de messagerie, et le cryptage des messages électroniques est basé sur les paramètres de sécurité fournis par le logiciel client.

Les paramètres de confidentialité et de sécurité des utilisateurs locaux peuvent également être définis par l’administrateur local du système.

Le summum email clientis est un service gratuit qui permet à l’expéditeur et au destinataire de définir le degré de gravité du courrier entrant.

La cote de gravité est un champ scalaire dynamique qui peut aller de 0 à 5, où 5 est la valeur la plus élevée.

Les clients de messagerie électronique dont il est question ci-dessus utilisent tous un protocole commun qui repose sur un générateur cryptographique asymétrique et un chiffrement.

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